Tu rêves d’être enceinte ou tu l’es déjà, alors il est temps que tu saches…
TU N’AS PAS FINI D’EN CHIER !!!
Ayant passé le stade des nausées, tu pensais être tranquille ? Ah ah ah ! Mais ça ne fait que commencer ma vieille ! Tu vas gonfler, gonfler, GONFLER, à un point que tu n’imagines même pas physiquement possible. Tes chevilles vont littéralement disparaître et laisser la place à deux solides poteaux France Télécom. Oublie l’idée de faire toi-même tes lacets, tu ne seras plus qu’un gros Culbuto qui ne sers à rien d’autre que bouffer des tablettes de chocolat (ou des filets de maquereaux, c’est selon) . Tu ne pourras plus dormir sur le ventre. En fait, tu ne pourras plus dormir tout court… et ce jusqu’au moment fatidique où le merveilleux petit être que tu abrites va te déchirer les entrailles pour faire ta rencontre, oui « le plus beau jour de ta vie » voilà ! Mais tout ça tu le sais déjà n’est-ce pas ?
En revanche, ce que tu ne sais pas, c’est qu’une fois la petite chose expulsée, bah c’est pas fini !
Superbe illustration, c’est tout à fait ça et pour le coup j’ai vite abandonné l’allaitement directement au sein…. vif le tire lait 🙂
Les illustrations sont drôles. En revanche, plus je lis/entends les mères et futures mères moins j’ai envie de suivre votre exemple.
Hello ! moi aussi les premiers jorus (enfin à partir de la montée de lait, et ce pendant 2 jours) l’allaitement m’a fait mail. une sage femme est venue à la maison et m’a bien montrée… et en quelques jours, tout a été bien remis dans l’ordre.
donc il faut se faire aider et l’allaitement, s’est passé comme sur l’image n°1. il faut « apprendre », la maman et le bébé les bons gestes ! le réflexe de succion est inné, mais tout le placement et travailler » à deux » , le bébé et la maman, peut s’apprendre avec une sage femme
Annie a parfaitement raison : Il faut apprendre avec bébé.
L’allaitement m’a fait mal (uniquement d’un côté) pendant 2 semaines, et depuis c’est génial. Bébé a 4 mois 1/2 et les tétées sont de super moments avec lui! C’est l’image 1 pour moi, avec en prime des regards et des caresses de bébé dont je ne me passerais pour rien au monde.